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Claude
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2024-Question 22: Le soldat connu
dre16600- Messages : 182
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- Message n°1
2024-Question 22: Le soldat connu
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Patbem- Messages : 20
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- Message n°2
Re: 2024-Question 22: Le soldat connu
Je n'ai pas trouvé de photo mais je pense a cybard florimond gouguet
dre16600- Messages : 182
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Date d'inscription : 06/11/2011
- Message n°3
Re: 2024-Question 22: Le soldat connu
Jean Rivaud a fait la bataille de Marengo.
Est ce lui ?
Est ce lui ?
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selmaline- Messages : 70
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- Message n°4
Q.22 - Le Soldat connu
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Claude- Messages : 1
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Date d'inscription : 18/06/2024
- Message n°5
le soldat inconnu
merci a semaline pour les indices qui m ont permis de trouver la tombe et le nom
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dre16600- Messages : 182
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Date d'inscription : 06/11/2011
- Message n°6
Re: 2024-Question 22: Le soldat connu
Je n'ai pas encore trouvé.
Dernière édition par dre16600 le Jeu 20 Juin - 10:09, édité 2 fois
selmaline- Messages : 70
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Localisation : Sud Charente
- Message n°7
Q.22- Le Soldat connu
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Bettyrene- Messages : 12
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- Message n°8
Re: 2024-Question 22: Le soldat connu
Jean chabot à balzac bonne journée à tous
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Linou- Messages : 59
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- Message n°9
2024-question
Pour Compléter
"La tombe de Jean Chabot (1773-1863), soldat de la République, né le 9 octobre 177350. Il s’engage comme grenadier en 1792 au 4e Bataillon de Réserve de la Charente également appelé 11e Bataillon de Volontaires de la Réserve créé le 14 septembre 1792 qui sera intégré à la 72e demi-Brigade d'Infanterie de Ligne. Il est blessé d'un coup de feu à la jambe gauche le 8 messidor an VII (26 juin 1799) à Arnhem dans le département du Rhin en République batave (1795-1806) devenue les Pays-Bas. A Marengo, commune et province d'Alessandria en Italie, le 25 prairial an VIII (13 juin 1800) à la tête de quelques-uns de ses camarades il chargea un peloton autrichien de cavalerie qui fut mis en fuite et s'empara de deux chevaux. Il est nommé fusilier-grenadier le 26 thermidor an VIII (14 août 1800). Il se distingue le 4 nivôse an IX (25 décembre 1800) au passage de la rivière Mincio commune de Monzambano, province de Mantoue, région de Lombardie en Italie en contribuant à la prise de deux pièces d'artillerie, d'un officier et de dix-sept canonniers autrichiens. Le Premier consul Napoléon Bonaparte lui décerna, à titre de récompense nationale, un fusil d'honneur le 19 ventôse an XI (10 mars 1803)51. Le 14 avril 1803 il est nommé chevalier dans l'ordre de la Légion d'honneur52. Il prend sa retraite en 1804 pour revenir au hameau de la Chapelle et reprendre son exploitation agricole. Il y décède le 15 mars 186353 et est inhumé au cimetière de Balzac où sa tombe54 est un monument surmonté d'un obélisque en pierre marqué par la sculpture d'un bicorne de grenadier, de son fusil d'honneur, de son sabre, de la croix de la Légion d'honneur et l’apposition d'une plaque résumant sa carrière55."
Bonne journée.
"La tombe de Jean Chabot (1773-1863), soldat de la République, né le 9 octobre 177350. Il s’engage comme grenadier en 1792 au 4e Bataillon de Réserve de la Charente également appelé 11e Bataillon de Volontaires de la Réserve créé le 14 septembre 1792 qui sera intégré à la 72e demi-Brigade d'Infanterie de Ligne. Il est blessé d'un coup de feu à la jambe gauche le 8 messidor an VII (26 juin 1799) à Arnhem dans le département du Rhin en République batave (1795-1806) devenue les Pays-Bas. A Marengo, commune et province d'Alessandria en Italie, le 25 prairial an VIII (13 juin 1800) à la tête de quelques-uns de ses camarades il chargea un peloton autrichien de cavalerie qui fut mis en fuite et s'empara de deux chevaux. Il est nommé fusilier-grenadier le 26 thermidor an VIII (14 août 1800). Il se distingue le 4 nivôse an IX (25 décembre 1800) au passage de la rivière Mincio commune de Monzambano, province de Mantoue, région de Lombardie en Italie en contribuant à la prise de deux pièces d'artillerie, d'un officier et de dix-sept canonniers autrichiens. Le Premier consul Napoléon Bonaparte lui décerna, à titre de récompense nationale, un fusil d'honneur le 19 ventôse an XI (10 mars 1803)51. Le 14 avril 1803 il est nommé chevalier dans l'ordre de la Légion d'honneur52. Il prend sa retraite en 1804 pour revenir au hameau de la Chapelle et reprendre son exploitation agricole. Il y décède le 15 mars 186353 et est inhumé au cimetière de Balzac où sa tombe54 est un monument surmonté d'un obélisque en pierre marqué par la sculpture d'un bicorne de grenadier, de son fusil d'honneur, de son sabre, de la croix de la Légion d'honneur et l’apposition d'une plaque résumant sa carrière55."
Bonne journée.
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Chrisdu16- Messages : 77
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Date d'inscription : 16/06/2023
- Message n°10
Re: 2024-Question 22: Le soldat connu
bonjour bonjour , j'ai rien a rajouté , vs avez tt dit sur le site mairie Balzac le soldat de l'an 2 toute les précisions . a demain , pour le coup je suis arrivé après la guerre
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sylvie- Messages : 1484
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- Message n°11
Re: 2024-Question 22: Le soldat connu
juillet, l’assemblée législative proclame « La Patrie en danger » et, par la loi du 22 juillet, ordonne la levée de quarante deux nouveaux bataillons de volontaires. Parmi tous ces volontaires animés par le sentiment d’appartenir à une grande nation, Jean Chabot souscrit son engagement le 15 août 1792 à l’âge de 19 ans. Le 14 septembre, il entre en service dans le 11ème bataillon des Réserves. En poste dans les garnisons du nord, il est appelé à défendre les frontières au moment du retrait de Belgique des armées de Dumouriez. Jean Chabot combat avec ardeur dans l’Armée du Nord pour la reconquête de la Belgique puis l’invasion de la Hollande. Pendant les années 1796, 97, 98, qui voient une paix partielle et fragile s’instaurer et le théâtre des opérations s’éloigner en Italie puis en Egypte, Jean Chabot et sa demi-brigade sont maintenus aux confins des régions bataves, entre
sylvie- Messages : 1484
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- Message n°12
Re: 2024-Question 22: Le soldat connu
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sylvie- Messages : 1484
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- Message n°13
Re: 2024-Question 22: Le soldat connu
Jean Chabot fut nommé Fusilier Grenadier le 14 août 1800. Cette nomination salua les mérites de ce soldat après sa blessure en Hollande et son comportement exemplaire à Marengo. A l’origine et jusqu’au milieu du 18ème siècle, les Grenadiers étaient les soldats qui lançaient les grenades. Leur spécialité exigeait force physique, adresse, discipline et surtout courage puisqu’elle les plaçait toujours devant leurs camarades pendant la bataille. Pour toutes ces qualités, les Grenadiers étaient considérés comme les meilleurs soldats. Et lorsque la spécialité en tant que telle vint à disparaître, on conserva le nom de Grenadiers pour désigner les hommes formant les unités d’élite.
Jean Chabot, qui avait démontré des capacités remarquables, rejoignit ainsi la compagnie des Grenadiers de son bataillon au cours de l’été 1800. Jusqu’à la fin de sa carrière, il fit donc partie de l’élite de la 72ème demi-brigade, composée de trois compagnies de Grenadiers, une par bataillon. A ce titre, il bénéficia de toutes les attentions: il reçut une solde supérieure, il fut mieux nourri, posséda un armement complet et en particulier, signe distinctif du Grenadier, il porta le sabre.
Jean Chabot, qui avait démontré des capacités remarquables, rejoignit ainsi la compagnie des Grenadiers de son bataillon au cours de l’été 1800. Jusqu’à la fin de sa carrière, il fit donc partie de l’élite de la 72ème demi-brigade, composée de trois compagnies de Grenadiers, une par bataillon. A ce titre, il bénéficia de toutes les attentions: il reçut une solde supérieure, il fut mieux nourri, posséda un armement complet et en particulier, signe distinctif du Grenadier, il porta le sabre.
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